Ceci est un aparté - le lecteur
sera assez bienveillant pour ne
pas m' en tenir rigueur, même
si cet aparté brise en apparence
la supposée "continuité de ton"
du présent blog.
Mais il s' agit de quelque chose
d' important : la publication, il y a
quelques jours à peine, d' un
album musical qui fait la part belle
à la poésie et exprime à mon sens
sera assez bienveillant pour ne
pas m' en tenir rigueur, même
si cet aparté brise en apparence
la supposée "continuité de ton"
du présent blog.
Mais il s' agit de quelque chose
d' important : la publication, il y a
quelques jours à peine, d' un
album musical qui fait la part belle
à la poésie et exprime à mon sens
toute la puissance qui se dégage
d' un compagnonnage entre la poésie
et le... rock n' roll.
L' album se nomme "Appear
Disappear". Il est sorti le 14 Juin.
Il s' agit du dernier album des
"YOUNG GODS".
Chacun des titres en question est une
"YOUNG GODS".
Chacun des titres en question est une
bataille que la poésie, alliée au rock n'
roll, livre au monstre. C' est sans merci,
sans compromis, sans négociation.
Dans "les rues vides à craquer" les
drones tournent, en accomplissant leur
sinistre besogne. Blackwater est là, la
mort aux dents. "Tu en ami du temps"
chantent les Young Gods.
C' est hypnotique, c' est fascinant,
c' est beau et sombre, ça sonne, ça
c' est beau et sombre, ça sonne, ça
pleure et ça prie, c' est la poésie qui
vient percuter le rock n' roll.
A moins que ce ne soit le contraire ...